Suite au dépôt de bilan de la coopérative la plus emblématique du groupe, des dissensions fortes apparaissent sur le devenir de Mondragón. Deux tendances se font jour : une, centralisatrice, qui demande une plus forte intégration des coopératives entre elles et une autre, plus libérale, qui admet que le groupe puisse lâcher une coopérative. Ce questionnement pointe les limites actuelles de l’entrepreneuriat coopératif et montre l’urgence d’un débat politique sur les notions de solidarité à une plus grande échelle qu’un groupe de quelques dizaines de milliers de personnes.
Le groupe Mondragón se questionne
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Source : Association pour l’autogestion du 27/02/14 par Benoît Borrits
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