« Actuellement, 40 % de la population française n’a pas accès aux prêts bancaires et recourt, faute de mieux, aux crédits renouvelable [crédit revolving - NDLR], dont le coût peut avoir des effets désastreux en termes de surendettement », explique Alain Bernard, responsable de la mission économie solidaire au Secours catholique. « Il s’agit de remettre de l’humain dans la colonne bancaire et de prouver au secteur que ce type de produit est tout à fait viable. Les pauvres remboursent aussi bien que les riches. Il leur faut seulement des outils adaptés », poursuit le responsable qui travaille depuis trois ans sur ce projet.
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