Acteur majeur de l’économie sociale et solidaire en France, le Groupe coopératif Chèque Déjeuner se réjouit de cette forte reconnaissance et réaffirme qu’il est possible de réussir économiquement en entreprenant autrement.
Initiée en 2012 par Benoît Hamon, alors Ministre chargé de l’économie sociale et solidaire et de la consommation, le projet de loi sur l’économie sociale et solidaire (ESS) a été adopté définitivement par l’Assemblée Nationale le 21 juillet 2014, sous l’impulsion de Carole Delga, secrétaire d’Etat chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Economie sociale et solidaire. Cette loi doit notamment permettre de créer 40 000 emplois dans les Scop (sociétés coopératives et participatives) d’ici 5 ans et favoriser les reprises d’entreprises par les salariés.
Acteur majeur de l’économie sociale et solidaire en France, le Groupe Chèque Déjeuner se félicite de l’adoption de cette loi et de la reconnaissance du modèle coopératif en France.
"Cette loi donne une nouvelle dynamique au secteur coopératif en faisant plus que jamais valoir que performance économique et innovation sociale vont de pair. Le 13 juin dernier, n otre Assemblée Générale de sociétaires a décidé de s’inscrire résolument dans le développement de groupes coopératifs. Notre Conseil d’Administration va ainsi travailler à l’association d’un plus grand nombre de salariés au capital de l’ensemble des sociétés du Groupe en France comme à l’international."
Jacques Landriot, Président du Groupe Chèque Déjeuner
Le Groupe Chèque Déjeuner, fleuron de l’économie sociale
Le Groupe Chèque Déjeuner a été créé en 1964 sous forme de Scop. Spécificité du modèle coopératif, ce sont les salariés-sociétaires qui sont propriétaires de la Scop Chèque Déjeuner, maison-mère du Groupe. Ils détiennent le capital de l’entreprise et élisent leur Président tous les quatre ans.
Le Groupe Chèque Déjeuner est aujourd’hui numéro 3 mondial sur le marché des titres et services prépayés. Tout au long de ses 50 ans de développement et d’expansion géographique, il n’a jamais abandonné ses valeurs coopératives qui ont construit sa pérennité et son indépendance. Son modèle alternatif gagnant lui a notamment valu la visite de François Hollande.