82 associations, 16 coopératives, des mutuelles, des établissements publics, des laboratoires de recherches... Onze ans après sa création, l’Inter réseau de l’économie sociale et solidaire de l’Anjou (IRESA) poursuit son développement. Directeur de l’écocyclerie des Mauges (1), Guillaume Fleury en assure désormais la co-présidence aux côtés du directeur de la Sadel, Patrice Moysan. Avec une volonté affichée : inscrire l’Iresa comme un acteur clef du développement territorial.
Quelle volonté motive votre arrivée à la co-présidence de l’Iresa ?
"J’y suis arrivé plutôt par la porte "développement économique" avec cette question simple : comment l’économie sociale et solidaire sur le département peut-être un acteur fort de la construction économique du territoire ? Autour de cette question, on a crée au sein de l’Iresa une commission il y a quelques années qui a organisé un certain nombre de démarches et de manifestations sur le département. La volonté, c’est de développer encore un peu plus ce secteur là, en se positionnant au plus près des besoins des territoires et en se disant que l’économie sociale et solidaire peut apporter des réponses là où le modèle économique classique n’offre plus forcément la meilleure réponse."