A l’heure où s’ouvre la 7ème édition de la Quinzaine du Commerce Equitable, Finansol se réjouit de voir que de plus en plus de Français permettent, grâce à leurs achats équitables et leur épargne solidaire, un développement plus juste et durable de nos sociétés.
Depuis l’émergence du commerce équitable les finances solidaires soutiennent le secteur et son développement. Elles ont ainsi contribué au développement de ce secteur en soutenant de nombreuses boutiques, filières, associations tels que les baskets Veja, la marque de vêtements Idéo, la société Ethiquable et bien d’autres présents au Forum du Commerce équitable qui se tient les 27 et 28 avril à la Villette – Paris.
En 2006, les finances solidaires ont généré 280 millions d’euros d’investissements solidaires et ont ainsi permis le financement de nombreux projets notamment dans le secteur du Commerce Equitable. De son côté, le chiffre d’affaires pour les produits issus du commerce équitable labellisés Max Havelaar atteignait sur la même période 166 millions d’euros (source : Max Havelaar). L’impact de ces secteurs n’est donc plus négligeable.
« J’ai pu créer ma boutique de chocolat équitable en plein cœur de Paris grâce aux finances solidaires. Ils m’ont tout de suite soutenu et se sont vraiment intéressés et investis dans mon projet, sans cette aide et accompagnement j’aurais eu du mal à démarrer mon activité », témoigne Guillaume Hermitte gérant de Puerto Cacao, boutique de chocolats équitables.
« Avec 59 placements reconnus solidaires par le label Finansol, les Français disposent désormais d’une offre diversifiée pour rendre leur argent intelligent », souligne Marie Hélène Gillig, présidente de Finansol.
Ils peuvent ainsi choisir de soutenir :
Le financement d’activités innovantes et favorisant un développement durable (énergies renouvelables, commerce équitable…) ;
La création ou le développement de petites ou micro-entreprises par ou pour des personnes en difficulté ;
Le financement d’activités économiques, associatives et culturelles sur des territoires marginalisés ;
L’achat ou la réhabilitation de logements pour des familles en situation de précarité ;
La construction de circuits financiers et la promotion d’activités économiques dans les pays du Sud et de l’Est.