Face au prix de l’immobilier, pourquoi ne pas s’unir pour faire baisser les coûts ? C’est l’objectif visé par les coopératives d’habitants. Elles sont une dizaine en France.
Propriétaire ou locataire ? Et s’il existait une troisième voie à mi-chemin entre la propriété et la location, pour un logement à prix modéré ? C’est le principe des coopératives d’habitants. À Toulouse (Haute-Garonne), Tess Leduc, retraitée, vit dans un immeuble coopératif depuis deux ans. Pour son deux pièces de 43 m2, l’ancienne agricultrice paye 236 euros par mois, soit la moitié du prix du marché. "Avec 640 euros de retraite, on ne peut pas vivre à Toulouse, alors que là, je vis dans un cadre super", commente-t-elle.