La fin du papier peint châlonnais n’est pas à l’ordre du jour. Une rencontre importante vient d’avoir lieu, des négociations vont suivre. Sur 162 ex-salariés de l’usine, 70 se seraient lancés dans ce projet
L’USINE Grandeco, produisant des papiers peints, n’est plus en activité depuis la fin du mois dernier. Mais la liquidation de l’ancienne usine Grantil (emblématique de Châlons) n’a pas pour autant sonné le glas du site.
Sur les 162 salariés, environ 70 se sont lancés dans le projet de création d’une société coopérative et participative (Scop), ce qui implique une participation financière de leur part. Jeudi dernier, les porteurs du projet ont présenté leur business plan, élaboré sur trois ans, à des financeurs ou des partenaires potentiels.