Selon l’un d’entre eux, Sami el Hajj, "les revendications [des grévistes] incluent l’arrêt des méthodes brutales employées envers les prisonniers, en particulier ceux du Camp V, et de nous apporter les soins dont nous avons tant besoin."
Les détenus ont ensuite effectué une pause de leur mouvement de grève après que les autorités leur aient promis un certain nombre d’amélioration au régime que subissent les prisonniers.
Il est toutefois apparu très rapidement que les mauvais traitements des détenus n’allaient pas cesser et que la question du vide juridique dans lequel ils se trouvent toujours ne serait pas résolue prochainement.