Le 27 juillet 2013, Benoît Hamon, ministre délégué à l’Economie sociale et solidaire (ESS) a présenté en Conseil des ministres le projet de loi-cadre sur l’ESS. Le projet de loi doit être discuté au Parlement début octobre.
Loin d’une avancée pour l’ESS, ce projet de loi est un concentré d’occasions manquées et recèle des dangers cachés. Les petits progrès ici où là font pâle figure. D’autant que le projet de loi ne crée absolument pas de droit de préemption pour les salariés souhaitant reprendre leur entreprise sous forme de coopérative. Ce serait pourtant indispensable.
L’ESS, une chance pour la France
L’économie sociale et solidaire regroupe les structures comme les : coopératives, mutuelles, associations, syndicats et fondations qui ont une gestion du capital démocratique (principe un adhérent, une voix) et organisent un partage équitable des bénéfices.