Du point de vue des familles, il est difficile d’effectuer un partage des activités éducatives et de loisirs entre « périscolaire » et « extrascolaire ». Il s’agit, en effet, de temps dont la seule caractéristique commune est de ne pas être un temps « purement » scolaire. Dès lors, les politiques publiques de l’éducatif et du loisir ne peuvent se fonder sur cette répartition.
Toutefois, la notion de « temps » est primordiale. Puisque les rythmes de l’enfant influent sur ses apprentissages et sur son développement, il convient d’inscrire ces rythmes en toile de fond de tout projet envisagé. Ainsi, une politique publique de l’éducation et des loisirs doit être globale et concerner l’ensemble des temps vécus par l’enfant et la famille