Transformer la biomasse provenant des déchets municipaux et des cultures non alimentaires en biocarburant pourraient être une technologie viable en Grande Bretagne, mais de plus grandes réductions d’impôts sont nécessaires pour couvrir les hauts coûts de lancement d’une telle industrie, d’après un rapport publié mercredi.
Alors que les pressions du réchauffement climatiques et les prix élevés du pétrole forcent les gouvernements à définir des objectifs ambitieux pour l’utilisation des biocarburants, les inquiétudes vont croissant concernant le fait que la bataille « nourriture Versus carburant » puisse épuiser les ressources naturelles et mener à des provisions de loi.
Les scientifiques cherchent maintenant d’autres sources de carburant – appelées deuxième génération de biocarburant- qui utilisent le bois, la paille ou les déchets des jardins pour remplir les objectifs sans menacer les réserves alimentaires. « Il y a une opportunité du marché pour le développement d’une seconde génération de biocarburant au Royaume-Uni » d’après le rapport demandé par le National Non-Food Crops Centre (NNFCC) (Centre national pour les cultures non alimentaires).