Énième coquille vide, la loi « bien vieillir » votée le 20 mars dernier, à l’Assemblée nationale, déçoit par son manque d’ambition. La prise en charge et la prévention de la perte d’autonomie étaient pourtant une des promesses de campagne de la première élection d’Emmanuel Macron, avec des mesures d’autant plus attendues dans le sillage du scandale Orpea et l’épidémie de coronavirus. Entre l’instauration d’un Service Public Départemental de l’Autonomie sans réels moyens alloués, quelques maigres mesures en (...)
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