L’été dernier, l’Orchestre National de Chambre de Toulouse avait du cesser son activité. Grâce à l’acharnement de quelques passionnés, ce fleuron de la musique classique revit sous une forme juridique originale.
« Nous sommes à la fois les vilains capitalistes qui créent leur entreprise et les vilains syndiqués qui veulent de bonnes conditions de travail ». La formule est étrange, surtout dans la bouche d’un musicien. Pourtant, chez Renaud Gruss, contrebassiste « acharné » de l’Orchestre National de Chambre de Toulouse, elle est devenue profession de foi. Depuis novembre dernier, ce mélomane à l’enthousiasme débordant est devenu chef d’entreprise !
En savoir plus en allant sur le site d’origine de l’information...