La révolte populaire vis à vis du meurtre de Nahel est légitime, mais pas la destruction, les flammes, le pillage, la violence. Cela réduit encore les services aux habitants des quartiers déjà fragilisés. Nous, qui avons participé ou soutenu la marche non-violente pour l’égalité et la dignité de 1983 demandons à ce que l’on « écoute » la violence et souhaitons des mesures radicales pour éradiquer toutes les injustices qui poussent des jeunes dans une colère telle qu’ils s’en prennent à notre organisation (...)
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