La façon dont ont été conduites les opérations de maintien de l’ordre ce 1er mai à Paris soulève à nouveau des questions, de même que l’atteinte aux libertés concrétisée par l’adoption récente de la nouvelle loi relative à la sécurité publique. D’une part les multiples interpellations intervenues, comme le permet désormais la loi, et le nombre élevé de gardes à vue, dont certaines peuvent apparaître abusives, interroge sur le devenir de manifestations telles que celles organisées par des syndicats. En (...)
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