L’Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AVFT) tirait, en début d’année, la sonnette d’alarme : face à l’augmentation des appels téléphoniques suscités par #MeToo et #BalanceTonPorc, elle était obligée de fermer son accueil téléphonique, faute de moyens supplémentaires pour y faire face [1]. La réponse de l’Etat, via la secrétaire d’Etat à l’Egalité femmes-hommes, fut sans nuance : puisque l’AVFT ne pouvait plus « assumer ses fonctions », déclarait-elle, en « oubliant » que (...)
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