Une étude récente met en évidence les graves répercussions que le temps passé dans le camp de réfugiés de Moria a sur la détérioration de leur santé mentale. Confirmant les informations empiriques collectées par les organisations humanitaires, une nouvelle étude quantitative laisse supposer que plus les demandeurs d’asile restent longtemps dans les camps de réfugiés, plus leur santé mentale se détériore. Cette étude, coécrite par le Dr Francisco Urzua de la Business School (anciennement Cass) en (...)
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