« Il est urgent que les autorités françaises reviennent sur leur décision d’interdire la distribution de nourriture par les associations humanitaires à Calais », déclarent nos six associations nationales humanitaires et de droits des personnes migrantes alors que le ministère de l’Intérieur a interdit à partir de ce jour toute distribution gratuite de boissons et denrées alimentaires. « J’avais faim et vous m’avez donné à manger ». En interdisant l’action humanitaire des citoyens, c’est la fraternité et (...)
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Avec une telle instruction, l’État français se rend coupable de non assistance à personne en danger. La situation à Calais relève d’une négation des règles de droits les plus élémentaires.