« Dépités », « en colère », « ras-le-bol », « inacceptable » : les expressions de mécontentement ont émaillé le bilan de la politique de l’hébergement et du logement dressé mercredi 17 septembre par le collectif des Associations unies, dont fait partie le Secours Catholique. Le collectif a ensuite rencontré le Premier ministre François Fillon.
La conférence de presse des associations se tenait symboliquement dans un centre d’accueil de jour parisien de l’association Emmaüs à Paris, près du Châtelet. Les personnes sans domicile présentes ne se sont d’ailleurs pas privé de donner leur avis. Les Associations unies ont dénoncé « l’illisibilité » et « l’incohérence » des décisions politiques après le « coup d’accélérateur » dû à l’action des Enfants de Don Quichotte, il y a deux ans.