Le mois de novembre est celui de l’économie sociale et solidaire. Ce mois-ci, donc, les associations, entreprises, coopératives et mutuelles s’ouvrent -encore plus que d’habitude- pour informer le grand public sur leur philosophie et les formes que peuvent prendre leur engagement, localement.
L’entrepreneuriat collectif ? Il impose, déjà, de s’associer. "Soit d’être au moins deux", sourit Lise Lalanne, directrice de la Chambre régionale de l’économie sociale et solidaire (CRESS) Auvergne. Au delà de cette lapalissade, il y a une évidence, qui sonne comme une feuille de route pour les personnes qui s’engagent dans l’économie sociale et solidaire : c’est une manière d’imaginer une gouvernance démocratique dans la prise des décisions, un "mode d’entreprendre où les hommes et les femmes s’engagent, ensemble, pour trouver des solutions, par le collectif. Où un homme = une femme = une voix."