Communiqué commun de la Fédération et des associations Love money pour l’Emploi 75, 77, 92, 93, 94.
En 2005, le mouvement Love money pour l’Emploi devra relever au moins deux défis : renforcer son identité et continuer à se développer.
renforcer l’identité du mouvement permettra de clarifier et de mieux faire connaître ce concept original d’économie solidaire.
continuer à se développer sera indispensable pour faire face aux nouveaux engagements du mouvement (participation au CODEV piloté par la Mairie de Paris, subvention de la Préfecture de Paris, amélioration du concept et de l’organisation des associations, ...)
Pour cela, nous vous proposons dès aujourd’hui d’engager la réflexion et nous faire part de vos idées et suggestions sur les thèmes suivants :
I) Pérenniser l’identité du mouvement Love money pour l’Emploi II) Pérenniser l’organisation des associations locales III) Pérenniser le concept d’accompagnement IV) Pérenniser les financements
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I) Pérenniser l’identité du mouvement Love money pour l’Emploi
1. Ce qu’est le mouvement Love money pour l’Emploi, et ce nous voulons continuer à faire, avec vous :
accueillir gratuitement tous les adhérent(e)s bénévoles qui le souhaitent en commissions d’étude, pour participer aux projets d’entreprise accompagnés par l’association. Aujourd’hui, des entrepreneurs, salariés, chômeurs, jeunes, retraités, ... viennent gratuitement, presque tous les soirs de la semaine, participer à ces commissions de travail, se former et échanger des compétences. Cliquez ici pour connaître les dates des prochaines commissions de travail, auxquelles tous les adhérent(e)s peuvent s’inscrire.
accompagner bénévolement les porteurs de projets pour le montage initial (création, sauvetage, développement) de leur projet d’ entreprise. Les entrepreneurs qui viennent à l’association sont en général sans moyen ou la trésorerie de leur société est très tendue.
aider à créer des emplois en formant bénévolement les porteurs de projet, en les préparant à devenir chefs d’entreprises grâce à l’outil formidable qu’est la note façon C.O.B. (un business plan amélioré selon le modèle de la C.O.B., qui permet l’acquisition de compétences financières, comptables, juridiques, ...).
2. Ce que n’est pas le mouvement Love money pour l’Emploi, et ce que nous ne voulons surtout pas qu’il devienne :
La vocation des associations Love money pour l’Emploi est inscrite dans l’article 1er des statuts : "permettre à des personnes démunies financièrement et ne disposant pas de réseaux de relations, de créer des entreprises de croissance génératrices d’emplois."
Or, les adhérents et porteurs de projets que nous accueillons bénévolement ne s’en rendent pas compte, mais les associations locales et même la Fédération Love money pour l’Emploi font l’objet de pressions continuelles, de la part de consultants dont les ambitions, contraires aux statuts et à cette vocation solidaire, conduiraient le mouvement Love money pour l’Emploi à ce que nous ne voulons justement pas qu’il devienne :
nous ne voulons pas d’un réseau d’experts qui monte les projets sans la participation des adhérents, ceux-ci n’ayant soit disant pas les compétences "expertes" pour participer.
nous ne voulons pas d’une structure de placement des projets, préalablement préparés par les "experts", auprès de business angels professionnels, avec tous les risques que le fondateur se fasse déposséder de son projet.
nous ne voulons pas d’une agence de consultants qui facture, souvent très cher, des prestations d’accompagnement "spécialisées" aux porteurs de projets (car il est bien évident qu’aucun dispositif "chèque conseil" ou convention ANPE ne peut financer les semaines voire les mois d’accompagnement nécessaires pour réaliser une "note façon COB").
De nombreuses agences de consultants/experts existent déjà et sont respectables, mais leur motivation principale est lucrative.
Au contraire, le mouvement Love Money pour l’Emploi est une association d’économie solidaire loi 1901, à but non lucratif, et sa motivation première est l’esprit associatif, le lien social qui rassemble créateurs et adhérents bénévoles autour du montage d’un projet d’entreprise.
A chaque fois que des dirigeants d’associations locales se sont coupés de cet esprit associatif, et ont fait dériver le concept en "manageant" leur association comme une entreprise à but lucratif, les adhérents de bonne foi sont partis, et ces dirigeants se sont retrouvés tous seuls avec deux ou trois relations d’affaires :
sans esprit solidaire
sans la technicité ni les compétences nécessaires pour réaliser des notes façon COB
sans financement extérieur (les porteurs de projets ne peuvent pas payer au départ puisqu’ils recherchent des fonds, les chèques conseil sont inadaptés, ...).
sans le soutien et les compétences solidaires de la Fédération et des adhérents de longue date
Résultat, toutes ces associations locales ont cessé leurs activités au bout de quelques mois.
Ainsi, en plus d’être contraire à l’esprit fondateur du mouvement Love money pour l’Emploi, ce modèle de fonctionnement, à l’épreuve des faits, n’est tout simplement pas viable.
II) Pérenniser l’organisation des associations locales
Pour améliorer et pérenniser le fonctionnement des associations locales, au service de l’identité solidaire du mouvement "Love money pour l’Emploi", plusieurs actions sont en cours :
un audit du D.L.A. (Dispositif Local d’Accompagnement des associations financé par la Caisse des Dépôts et Consignations), a finalement été obtenu en septembre 2004 (nous en avons fait la demande dès 2002). Il va permettre de formuler des propositions pour améliorer la lisibilité et l’organisation du mouvement.
aujourd’hui, le lancement des chantiers de pérennisation, doit permettre, tout au long de l’année 2005, d’informer et de faire remonter les propositions solidaires des adhérent(e)s et sympathisant(e)s des associations locales. Merci de nous faire part de vos idées et suggestions :
* comment renforcer l’ancrage solidaire du mouvement Love money pour l’Emploi ?
* comment décourager d’éventuelles dérives ?
mise en oeuvre, lors du prochain C.A. de la Fédération Love money pour l’Emploi, de l’idée d’un adhérent de l’association de Seine Saint Denis, Roger BALABAU : il va s’agir de mettre en place au niveau fédéral un "Comité des Sages", composé d’adhérent(e)s de longue date (3 ou 4 ans au minimum) et qui ont construit la notoriété du mouvement Love money pour l’Emploi.
Ce "Comité des Sages" émettra des propositions pour développer le mouvement et pour prévenir les dérives ; il pourra demander les C.V. et motivations des candidats aux postes d’administrateurs des associations locales et écrire aux adhérents de toutes les associations locales s’il le juge utile.
III) Pérenniser le concept d’accompagnement
Durant les premières années d’existence du concept Love money pour l’Emploi, nous avons surtout mis l’accent sur la formation à la "Note façon C.O.B.", qui est l’outil principal mis en oeuvre pour structurer et préparer les projets. En rédigeant leur "Note façon C.O.B.", les porteurs de projets acquièrent les connaissances de base financières, comptables, juridiques, qui leur seront très utiles dans leur parcours de chef d’entreprise.
Au fil des projets, nous nous sommes aperçu, que si ce parcours de formation est indispensable, il n’est pas suffisant :
1. Pendant la phase de préparation et de montage des projets :
L’étude de marché est trop succincte dans la présentation "Note façon C.O.B." : les porteurs de projets ont besoin de se former et d’avoir une connaissance plus précise des futurs clients et de leurs attentes.
Les porteurs de projets n’ont pas suffisamment de compétences commerciales, et là encore, ils ont besoin de se former.
Pour améliorer le montage des projets, il sera proposé, lors des prochains C.A. de la Fédération, de créer un véritable parcours de formation du porteur de projet.
Concrètement :
un certain nombre d’additifs devront être annexés à la note façon C.O.B., et en particulier l’étude de marché et un modèle de tableau de bord qui devra être utilisé pour suivre l’activité de l’entreprise.
il sera demandé au porteur de projet d’avoir une réelle connaissance du métier dans lequel il souhaite monter son projet. Les 3 projets qui ont disparu (Les Mains dans la Farine, Dolopale, Loorica, ...) ont en commun le fait qu’il s’agit de créations pures, dans des secteurs peu connus des porteurs de projets, et que les porteurs de projets se sont volontairement coupés de l’association Love money pour l’Emploi une fois qu’ils ont eu collecté les fonds.
pour acquérir des compétences commerciales, la société ACBSoft, que nous accompagnons et que nous tenons à remercier, a proposé d’offrir à tous les porteurs de projets accompagnés par Love money pour l’Emploi son logiciel de prospection commerciale Business@vente. Les créateurs, en particuliers ceux qui n’ont jamais fait de prospection commerciale, devront s’entraîner avec ce logiciel, pour acquérir les compétences commerciales dont ils auront besoin pour réussir.
une base d’organismes de formation conventionnés par l’ANPE sera créée et remise aux nouveaux porteurs de projets, à l’initiative de Jean-Claude PINAULT, président de LMPE 93. Ces organismes, qui ont un positionnement différent de Love money pour l’Emploi, peuvent aider les porteurs de projets demandeurs d’emplois à renforcer gratuitement (du fait de la convention ANPE), tel ou tel domaine de compétences qui leur manque. Des partenariats pourront être mis en place pour faire profiter les porteurs de projets de formations financées par les dispositifs publics d’aide.
un contrat d’accompagnement sera annexé au Pacte de Bonne Conduite de manière à anticiper le suivi de l’entreprise.
2. Pendant la phase de collecte de capitaux :
Rappelons tout d’abord que ce sont les porteurs de projets qui réalisent eux-mêmes la collecte des fonds, en direct, dans le cadre de l’appel privé à l’épargne, et sous leur seule responsabilité.
Les associations Love money pour l’Emploi ne collectent jamais de fonds en direct, ni ne servent d’intermédiaire. Elles sont des associations de formation bénévole des porteurs de projets et des adhérents. L’avis de la Fédération émis à la fin de la rédaction de la note façon COB est une mise en garde aux investisseurs potentiels, destinée à leur rappeler que l’investissement dans un projet d’entreprise, dont le succès est par nature incertain, s’adresse à des personnes capables d’en apprécier les risques.
Même s’il ne collecte pas directement de capitaux pour les projets, le mouvement Love money pour l’Emploi leur est utile :
la préparation bénévole et collective de la "note façon C.O.B." est de grande valeur, puisque tous les porteurs de projets qui ont reçu l’avis de la Fédération ont réussi à collecter les fonds qu’ils recherchaient. La préparation de business plans hors associations Love money pour l’Emploi est facturée plusieurs milliers d’euros par des consultants, pour un résultat incertain.
les adhérents bénévoles qui s’engagent dans les commissions d’étude et accompagnent les porteurs de projets, sont les premiers à investir, même des sommes modestes : ils servent de catalyseurs et permettent aux porteurs de projets d’être plus confiants pour solliciter leur entourage : il est bien plus facile de convaincre 5 nouveaux investisseurs avec un dossier bien préparé dans lequel 5 autres personnes ont déjà investi, plutôt que de partir de rien.
le concept Love money pour l’Emploi permet de réunir plusieurs dizaines de petits actionnaires de proximité qui connaissent directement le porteur de projet : c’est bien plus sécurisant pour le porteur de projet que de se retrouver seul face à un ou deux business angels professionnels ayant la majorité du capital et qui peuvent l’exclure une fois qu’il a apporté ses compétences à l’entreprise. De plus, les porteurs de projets n’ayant pas les moyens, au départ, d’investir dans le capital de la société, pourront y parvenir par la suite, grâce aux techniques de B.S.P.C.E. (Bons de Souscription Part Créateur Entreprise) développées dans l’association.
Cette phase de collecte de fonds par le porteur de projet peut s’étaler sur plusieurs mois, mais les 9 projets ayant reçu "l’avis de la Fédération" ont tous réussi à collecter dans leur entourage (famille, amis, relationnel, ...) les capitaux dont ils avaient besoin.
3. Pendant la vie de l’entreprise :
Nous nous sommes aperçus, là encore, qu’il fallait renforcer l’accompagnement financier et commercial des entrepreneurs, une fois la société créée :
les entrepreneurs sont assaillis de tous côtés par des démarches, des tâches diverses et des problèmes qu’ils n’avaient jamais imaginé rencontrer.
ils ne prennent pas le temps d’informer suffisamment les actionnaires sur l’évolution de la société.
ils ne suivent pas suffisamment les états financiers de leur société (trésorerie prévisionnelle, calculs de marge, niveau des fonds propres, besoins en fonds de roulement, maîtrise de l’endettement, ...). Par exemple, un développement trop rapide du chiffre d’affaires augmente le besoin en fonds de roulement, et l’entreprise peut se retrouver à court de trésorerie, et donc menacée de déposer son bilan, alors même qu’elle est en fort développement.
Les dirigeants s’en remettent en général à leur comptable pour les conseiller dans de tel cas, alors que le comptable intervient en aval, pour synthétiser les éléments financiers et réaliser le bilan : il est alors trop tard.
Pour remédier à cette situation, nous avons créé plusieurs outils permettant de réaliser un suivi plus rigoureux :
présence au Conseil d’Administration des sociétés accompagnées de deux adhérents d’associations love money pour l’Emploi, soucieux de défendre les actionnaires minoritaires, et ayant acquis une formation juridique et/ou une expérience minimum dans ce domaine.
réduction de la durée du mandat du Conseil d’Administration des sociétés, en la passant de deux ans à un an, de manière à ce qu’un administrateur remette en jeu son mandat tous les ans devant les actionnaires, et qu’il soit rapidement remplacé s’il ne vient plus régulièrement. Cela doit permettre d’éviter que le dirigeant se retrouve livré à lui même, sans avis extérieur à la société.
encouragement de la participation des salariés au capital de l’entreprise, en leur réservant une partie des bons de souscription. Cela doit permettre de responsabiliser les salariés de l’entreprise accompagnée et de les impliquer dans la réussite de la société.
autorisation, inscrite dans le Pacte de bonne conduite, pour l’association Love money pour l’Emploi d’écrire à l’ensemble des actionnaires des sociétés accompagnées si elle constate des dysfonctionnements ou des difficultés importantes dans l’entreprise.
réalisation d’un document d’information à destination des Commissaires aux Comptes pour attirer leur attention sur leur rôle d’alerte des actionnaires en cas de difficultés avérées des sociétés, ou en cas d’absence de communication.
dernière nouveauté : mise en place d’un contrat d’accompagnement, inscrit dans la note façon COB, prévoyant de créer un poste de directeur financier à temps partagé, rémunéré sur la base d’ un demi SMIC. Ce salarié, qui devra avoir un bagage/une expérience professionnelle conséquente dans ce domaine et être au courant de la nature de l’accompagnement Love money pour l’Emploi, sera chargé :
d’une mission de suivi des états financiers (trésorerie prévisionnelle, calculs de marge, niveau des fonds propres, besoins en fonds de roulement, maîtrise de l’endettement, ...)
de l’établissement d’ un reporting mensuel ou trimestriel à la Fédération Love money pour l’Emploi, au dirigeant et aux administrateurs, permettant ainsi d’être régulièrement informé de l’évolution de l’activité de l’entreprise, et donc de traiter en amont les difficultés des sociétés portées par Love money pour l’Emploi.
de la préparation plus rigoureuse des augmentations de capital, en ayant des chiffres financiers récents et cohérents.
en complément, d’une mission d’enregistrement des pièces comptables.
Ce suivi renforcé, ouvert aux nouvelles idées des adhérent(e)s, doit permettre de prévenir les difficultés des sociétés qui seront à l’avenir portées par le concept Love money pour l’Emploi.
IV) Pérenniser les financements
Pour réussir la pérennisation du mouvement Love money pour l’Emploi, il faut que l’association trouve des sources de financement durables :
Les cotisations des adhérents : Elles sont volontairement faibles (5 € pour les jeunes et les chômeurs, 15 € pour les autres personnes). Nous ne voulons pas faire une association avec des droits d’entrée importants car nous tenons à ce que la formation de l’association reste accessible à tous. Ce faisant, les cotisations des adhérents couvrent simplement les dépenses de fournitures de bureau, les frais postaux, Télécom, du site Internet Love money http://www.love-money.org
Les dons en matériel : Ayant un positionnement solidaire, à but non lucratif, les associations Love money pour l’Emploi sont éligibles pour les dons en matériels : les ordinateurs, fax, téléphones utilisés à la Fédération ont ainsi été récupérés gratuitement à France Telecom (grâce à Jean-Claude PINAULT), à la Caisse des Dépôts et Consignations, etc, ...
Les cotisations des entreprises :
Grâce au positionnement solidaire à but non lucratif du mouvement Love money pour l’Emploi, les entreprises suivies qui cotisent bénéficient d’une réduction d’I.S. de 60% de leurs versements. Ainsi, il est prévu dans le Pacte de bonne conduite une cotisation solidaire de 1800 € annuels pour pérenniser et développer le concept Love money pour l’Emploi : en tenant compte de la réduction d’I.S. cette cotisation ne coûte en réalité que 720 € par an, soit 60 € par mois, à l’entreprise accompagnée.
Il nous faut aujourd’hui améliorer le système de recouvrement des cotisations pour les entreprises accompagnées.
En plus des sociétés accompagnées par le concept Love money pour l’Emploi, le développement de l’adhésion d’entreprises du secteur géographique des associations locales (150 € par an), donne la possibilité aux entrepreneurs locaux d’avoir accès à toutes les réunions de l’association, pour leur permettre de surmonter leurs difficultés dans la gestion de leur entreprise, grâce à des échanges d’expérience, et ultérieurement de développer leurs fonds propres.
Les dons en mécénat des entreprises : 60% des dons des entreprises aux associations Love money pour l’Emploi sont déductibles de l’ impôt sur les sociétés. Ces sociétés mécènes peuvent ainsi être reconnues pour leur implication dans la vie économique et sociale locales (aide à la création d’entreprises et d’emplois locaux, formation des porteurs de projets, ...).
Les subventions :
Grâce à son positionnement solidaire et à son concept original, le mouvement Love money pour l’Emploi est éligible pour recevoir des subventions publiques : en 2004, pour la première fois, une subvention directe a été obtenue de la Préfecture de Paris. Pour 2005 nous montons d’autres dossiers de subventions et espérons les voir aboutir.
Ces subventions sont la reconnaissance de l’utilité des associations Love money pour l’Emploi, qui accompagnent en particulier des porteurs de projets démunis, là où le "marché du conseil" n’intervient pas.
Ces subventions devraient permettre d’accélérer le développement du concept Love money pour l’Emploi, de faire face aux dépenses de fonctionnement non encore couvertes par les cotisations des entreprises accompagnées. Elles doivent aussi permettre de former et salarier les permanents nécessaires pour renforcer notre capacité d’accompagnement des porteurs des projets, et donc de pérennisation du concept.
A terme, les subventions devraient représenter environ 40% des dépenses de fonctionnement des associations locales et de la Fédération.
V) Rejoignez-nous
Pour que la pérennisation du mouvement Love money pour l’Emploi réussisse, nous souhaitons associer les adhérent(e)s et sympathisant(e)s bénévoles de bonne foi à cette démarche. Merci de nous retourner ce mail en remplissant le formulaire ci-dessous. Bien entendu, vous pouvez également contacter la Fédération des associations Love money pour l’Emploi au 01 48 00 03 35 pour nous faire part de vos remarques et suggestions (après 18h de préférence)
Nous espérons que toutes ces informations et précisions sur l’évolution du concept Love money pour l’Emploi répondent à certaines des questions que vous vous posiez.
Amicalement.
Jean SALWA (président LMPE 75), Didier SALWA (président LMPE 77 et Fédération LMPE), Gilles PUFFET (président LMPE 92), Jean-Claude PINAULT (président LMPE 93), Hervé ROCTON (président LMPE 94) et Jean-Claude FIGUERAS (secrétaire LMPE 91)