Le « monde d’après » annoncé lors du premier confinement par les éditos, tribunes, appels, ou pétitions, s’éloigne de plus en plus à mesure que dure la crise du Covid-19. S’il apparaît aujourd’hui comme une chimère, un « autre monde » existe déjà bel et bien, incarné par l’économie sociale et solidaire (ESS). Une autre économie La loi Hamon de 2014 l’a reconnue. La définissant comme un mode d’entreprendre autant que comme un mode de développement, elle la fait reposer sur trois piliers : une gouvernance (...)
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Bonjour
Je suis de moins en moins "confort" avec l’argument statistique des 10% sachant que cela comptabilise des chèvres et des choux , y comoris des entreprises dites sociales, comme les filiales associatives du monopole SOS.
si on pouvait davantage construire le projet politique sur des valeurs et des pratiques , cela aiderait à comprendre de quoi on parle
Et de la même manière , le concept de République mérite aussi un ripolinage à la manière de ce que suggère Serge Audier dans son dernier livre, une république écosociale.
Là aussi, cela mettrait en évidence que l’économie solidaire a su voir ces enjeux ecosociaux depuis bien longtemps et que désormais ESS délestée de ses boulets( voir livre de Draperi) et république eco sociale peuvent envisager une alliance politique.