Si ce rapport, très documenté, a pour objet d’évaluer la pertinence des mécanismes de soutien publics aux services à la personne (SAP), la Fédésap regrette que la Cour fasse l’impasse dans son analyse sur un grand nombre de bénéfices directs et indirects induits par le travail des 1,3 millions d’intervenants à domicile. Pour la Fédésap, loin d’être une niche fiscale, les dispositifs attachés au secteur des SAP sont en réalité une dépense fiscale « active » – un investissement - qui rapporte plus à l’État et (...)
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