La politique du handicap devait être la priorité du quinquennat. Cette priorité affichée, souvent à grands renforts de communication, s’est traduite certes par des mesures importantes, telles que l’accès au vote des personnes handicapées sous tutelle, la reconnaissance de la surdicécité ou l‘ouverture de certains droits sans limitation de durée, mais n’a pas réussi à impulser une amélioration réelle de la vie quotidienne des personnes en situation de handicap et de leurs familles. La politique du handicap (...)
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