Oui, je sais, je suis en retard de deux jours pour que tu puisses passer. Là, tu dois être en train de te reposer après cette nuit marathon que tu fais tous les ans depuis si longtemps. Pourtant, je vais continuer ma lettre à ton intention, car si tu t’ennuies dans les prochains jours, ou si tu as un lutin libre, n’hésites pas à lui prêter les clés du traineau pour m’accorder ces quelques voeux de fin 2012.
L’année 2012 aura été enfin l’année de transition. Pourquoi "enfin" ? Car tous les ans, nous nous disions que l’année à venir allait être structurante [1] tant l’activité en cours se modifiait et devenait de plus en plus épaisse. Epaisse en charge, mais surtout épaisse en richesse de contacts et en profondeur de partenariat. Je m’explique.