Le déclenchement du règlement arbitral ne doit pas faire perdre l’objectif de mise en place de conditions d’exercice et d’une juste rémunération pour un accès aux soins de premier recours efficace, simple et lisible pour les patients et les professionnels de santé. Compte tenu des besoins des patients (6 millions de Français sans médecin traitant dont 600 000 en affection longue durée) et des attentes des médecins pour une juste reconnaissance de leurs activités, la Mutualité Française regrette que les (...)
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