Une semaine après la mort de Nahel, et l’explosion de violence qui s’en est suivie, la colère n’est pas retombée dans les quartiers populaires. Cette colère qui s’exprime contre toutes les institutions présentes dans les quartiers de la politique de la ville nous rappelle à quel point nous sommes démunis face à la mort tragique d’un garçon de 17 ans. La mort de Nahel et les émeutes qui en découlent nous renvoient à un terrible aveu d’impuissance. Quarante années après les révoltes des Minguettes qui (...)
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