Nul ne peut se résoudre à la mort tragique et inacceptable d’un adolescent tué de la main d’un représentant des forces de l’ordre, ni à la spirale de violences et de destructions qui s’en est suivi. Le retour à un calme apparent, sous l’effet d’un dispositif uniquement sécuritaire, ne saurait conduire à accepter les outrances actuelles du débat public et la mise en accusation d’une partie des jeunesses. Au contraire, il est impératif de formuler une analyse partagée et de coconstruire des réponses (...)
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