Adessadomicile et UNA se félicitent de ce nouveau signe de reconnaissance interministériel pour ce secteur devenu avec cette signature une filière. Les ministres, Christophe Sirugue, Pascale Boistard et Ségolène Neuville ont posé les enjeux de cette dernière dans un contexte électoral qui doit permettre un vrai choix de société pour répondre à la volonté de 80% de la population de rester vivre à domicile malgré une perte d’autonomie grâce à des services d’aide à domicile de qualité avec des intervenants formés.
A travers cette signature, c’est un pan entier de l’économie française qui est ainsi reconnu. Rappelons que ce secteur représente 5% de la population active, 450 000 ETP et 1% du PIB.
Nous rappelons que les métiers de l’aide à domicile sont des vrais métiers qui répondent à un besoin d’utilité sociale, des métiers non délocalisables, des métiers qui ont du sens, qui participent au développement économique et à la cohésion sociale de notre pays.
Ce contrat de filière vient confirmer le travail mené avec la MISAP depuis plusieurs années. Adessadomicile et UNA espèrent qu’il puisse permettre une réelle promotion des métiers en lui donnant des perspectives professionnelles avec une nécessaire reconnaissance financière sans quoi cette belle ambition ne pourrait se concrétiser.
Bonjour,
Je pense que la reconnaissance, même financière (indispensable), ne suffira pas : il faut un soutien, un accompagnement, un endroit o๠se confier, o๠échanger... Les associations qui emploient n’ont pas les moyens financiers, les personnes en chèque emploi service, sont seules...