Bonjour,
Nous espérons que votre été a été serein, positif et reposant et que vous étiez dans une région que la météo a voulu clémente.
Nous reprenons nos éditoriaux en ce dernier lundi d’août. Ce ne sera pas un éditorial très fourni car les rédactions, services de presse et autres responsables de communication n’ont pas forcément encore "commis" de papier à présenter.
Mais, néanmoins, l’été n’aura pas été sec (hum hum) d’informations puisque la loi sur l’économie sociale initiée par Benoit Hamon, portée par Valérie Fourneyron et finalement défendue par Carole Delga (A cette heure, après la démission du Gouvernement Valls, nous ne savons pas qui, et si il y aura, s’occupera de l’ESS dans le futur nouveau gouvernement).
Nous ne reviendrons donc pas sur les débats qui ont animé le parcours de cette loi, surtout sur le périmètre retenu par le législateur pour définir la nouvelle économie sociale et solidaire.
Cet éditorial a pour objectif de relater l’ensemble de la discussion depuis les 2 ans qui ont permis l’aboutissement de cette loi, entre les réseaux, les acteurs et les pouvoirs publics, et bien entendu, relater les dernières positions suite au vote.
Tout lire sur le projet de loi et le vote...
Pour conclure, nous reprendrons la déclaration (un morceau) de Madame Delga, qui, assumons le, correspond bien à ce que nous pensons de l’ESS et souhaitons voir maintenant s’ouvrir comme perspectives :
« L’Economie sociale et solidaire est une économie professionnelle dorénavant dotée de financements, c’est une économie de la transformation et de
l’innovation. Mais c’est aussi une économie de sens, fondée sur des valeurs qui placent l’homme comme acteur, moteur, mais surtout comme norme absolue, comme étalon. C’est une économie qui montre le chemin pour demain, vers une économie durable et responsable, positionnée autour de nos territoires et de leurs habitants. »
Bonne lecture !