300 étudiants bénévoles font leur rentrée avant l’heure

Publié le

300 étudiants bénévoles font leur rentrée avant l'heure

Pendant trois jours, des élèves particuliers se sont assis dans les amphis du Mirail : des étudiants bénévoles. L’AFEV, association de la fondation étudiante pour la ville, tenait ses universités Européennes de l’Engagement à l’Université du Mirail. Mercredi 30 août, le maire Jean Luc Moudenc a reçu au Capitole les 300 jeunes bénévoles, dirigeants et personnels de l’AFEV venus de France et d’Europe.

L’association travaille dans les quartiers depuis près de 15 ans. Sa force : 5 000 étudiants bénévoles, dont 500 à Toulouse. Ses missions sont ambitieuses : « lutter contre les inégalités sociales, de valoriser la citoyenneté, valoriser l’engagement des jeunes, en les considérant comme une ressource pour la société » selon Thibaut Renaudin, responsable régional de l’AFEV. Ces jeunes étudiants ont fait le choix de donner de leur temps, chaque semaine, à un enfant en difficulté. De « l’accompagnement éducatif individualisé » plus que du soutien scolaire.

En savoir plus en allant sur le site d'origine de l'information... Cliquez sur notre partenaire !

---------------------------------------------

Autres articles dans cette rubrique

Plaidoyer de l’Afev à l’occasion des élections européennes : une citoyenneté commune passe par l’élargissement de l’engagement des jeunes au niveau européen

Dans une volonté de transformation sociale en complémentarité des politiques publiques, l’Afev développe depuis 30 ans des programmes de solidarité dans lesquels des milliers d’étudiants s’engagent...

Apprentis solidaires : 580 jeunes s’engagent pour prépare (LEUR) l’avenir

Depuis 2019, chaque début d’année marque le lancement des nouvelles prépa "Apprentis Solidaires". Étendu à 40 villes en France, le programme, Lauréat du plan d’investissement dans les compétences du...

6 associations alertent sur les inégalités sociales et territoriales qui continuent de déterminer le futur des jeunes Français

60% des jeunes ruraux issus de familles CSP- ne se sentent pas capables d’obtenir une licence. Ils sont 49% des jeunes urbains de familles CSP-, contre seulement 28% des jeunes urbains de familles...

close