Les ex-Lejaby prises en otage de la campagne présidentielle

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Les ex-Lejaby prises en otage de la campagne présidentielle

Tous les yeux sont désormais rivés sur les trois ouvrières qui ont lancé leur marque en octobre.

« L’État se mobilise pour sauver les emplois de Lejaby-Bellegarde. » Vendredi soir, le communiqué de la préfecture de l’Ain était largement diffusé à qui de droit. Sauf aux principales intéressées, les trois Bellegardiennes qui ont lancé leur marque de lingerie en octobre. C’est sur elles que les yeux sont tournés aujourd’hui. Elles sont le rebond possible dans le douloureux reclassement des ouvrières. « On intéresse beaucoup les politiques en ce moment et on est sollicité de toute part. Il y a deux jours, c’est un conseiller de Hollande qui m’appelait », confie Annick Cart, à l’origine de la petite société.

Le préfecture informe dans un communiqué que « des réunions sont programmées prochainement pour rechercher des possibilités de création d’activité. » Puis, il est indiqué que le repreneur du site Lejaby-Rillieux, M. Prost, envisageait de donner une partie du matériel de l’entreprise à la Scoop (Société coopérative et participative) créée à Bellegarde. Dernière nouvelle, qui fait la surprise des premières concernées.

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