Hauts-de-Seine : réussir sans les banques, ils l’ont fait

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Hauts-de-Seine : réussir sans les banques, ils l'ont fait

Parce qu’il n’est pas facile, voire dans certains cas impossible, de décrocher un prêt auprès d’une banque pour créer son entreprise, les créateurs se tournent de plus en plus vers d’autres modes de financement : clubs de business angels, plates-formes de crowdfunding, échanges de services ou trocs entre entreprises… Depuis quatre ans, le département des Hauts-de-Seine réunit chaque année les différents acteurs de ce secteur, appelé « financement participatif », pour faire connaître aux futurs ou nouveaux entrepreneurs la palette de possibilités et prouver que la réussite est au bout du chemin.

Le Soulier Français change de pointure

L’une des plus belles histoires est celle de Xavier et Priscilla Porot, success story tricolore autour d’un produit de qualité, la chaussure, dessinée et fabriquée en France. « Je n’ai pas de fortune personnelle ou familiale, je suis arrivé à Paris en 2006 avec 300 € sur mon compte en banque et je dormais chez un copain. Avec Priscilla, on a démarré notre activité en 2009 avec 25 000 € », rappelle le président fondateur de l’entreprise Le Soulier Français, toujours installé dans les Hauts-de-Seine, à Gennevilliers, où travaillent aujourd’hui une dizaine de designers et commerciaux.

Source : Le Parisien du 24/11/16 par PH

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